◊ WHO : Zac efron. ◊ THE DREAM : Faire le tour du monde. ◊ AGE : 22 ans. ◊ SCHIZO? : Non. ◊ THE JOB : Barman. ◊ PSEUDO : Choupette. ◊ MESSAGES : 98 ◊ COPYRIGHT : Sterling
Sujet: Un rateau n'a jamais tué personne. PV garance. Mar 28 Déc - 12:48
T’es vraiment con quand tu t’y mets.
8 H 30. L'heure à laquelle sonna le réveille de Maxyme, à cette heure si, la plupart des gens se préparent, d'autres sont déjà au travail et les plus chanceux sont encore en train de dormir, mais pour Maxyme la grace matinée, ce n'était pas pour les jours de la semaine, sauf son jour de repos et le week end. Aujourd'hui il devait être au travail pour 10h comme tous les jours. Il pris donc sa douche, indispensable pour lui le matin, s'habilla d'un jean ainsi qu'un tee shirt gris. Il pris ensuite un petit déjeuner, pour pouvoir tenir jusqu'à midi, l'heure de sa pause déjeuner. Une fois qu'il fut tout beau, tout frai, il parti en direction du bar dans lequel il travaillait, un bar comme les autres, rien de plus, rien de moins, ce n'est pas le métier que tout le monde reverrait de faire, lui non plus, étant jeune il ne s'est pas dit " Je vais devenir Barman " mais, il aime quand même ce métier, être en compagnie des gens, être dans une bonne ambiance, il se sentait comme chez lui, même c'est vrai, que rester debout toute une journée, à prendre les commandes, servir les gens, c'est moyen, mais on s'habitue, mais puis on aime ou on aime pas. Maxyme il aime ça. Il arriva donc à 10heure à son travail, il ouvra le bar et commenca à mettre les machines en action.
Une fois sa matinée terminée, il se rendit dans une boulangerie, pour chercher un sandwich à manger rapidement, il avait deux heures de poses tous les midis, mais il n'avait pas envie de manger au restaurant tous les midis, au final il serait trop rapidement ruinés, donc il alterne entre restaurant et boulangerie. Il engloutit assez rapidement son sandwich et décida d'aller se balader un peu dans le coin, histoire de voir les magasins, ainsi que les passants, comme quoi que même les hommes aiment faire les magasins des fois, sans pour autant être accro à ça. Après avoir fait les magasins qu'il voulait et acheter deux petits trucs, qu'ils mettraient plus tard, il sorti des magasins, pour se balader un peu, vu qu'il lui reste encore une bonne heure à rien faire.
Il décida de se rendre dans la rue piétonne, là où il y avait pleins de touristes, tout le temps, à n'importe quelques heures que vous y allez, vous trouverez des touristes en tout genre, bien sûr, il y aura aussi des habitants de la ville, c'est un peu comme une boite ici, vous pouvez bien recontrer des gens, même si bon, ils ne vous accordent pas une danse aussi gentiment qu'en boite. Il se balada donc dans la rue, histoire de rencontrer du monde, enfin surtout des filles, c'est mieux. Maxyme est d'un naturel charmeur, il n'a pas peur du ridicule, toute façon un râteau n'a jamais tué personne.
☞ Garance Besson.
» provehito in altum.
◊ WHO : Emma Watson ◊ THE DREAM : Monter son entreprise dans le mariage et, évidemment, trouver l'homme avec qui elle ira jusqu'à l'autel et l'hôtel. ◊ AGE : 17 ans◊ SCHIZO? : Yep, totalement. Je me suis créer une blonde sulfureuse dont le patronyme est Clémentine Chevalier pour me tenir compagnie lors de mes soirées DVD ◊ THE JOB : Elle est en terminale à Berthollet et travaille à mi-temps dans une boutique de mariage◊ PSEUDO : oh!walembi ◊ MESSAGES : 220 ◊ COPYRIGHT : oh!walembi
Sujet: Re: Un rateau n'a jamais tué personne. PV garance. Mar 28 Déc - 20:59
maxyme d. et garance b. if i could be anywhere.♪
8h, Annecy s’éveille doucement. Ses habitants, pour ceux qui travaillent, se lèvent ou sont déjà partis au travail tandis que d’autres, les plus chanceux, restent à dormir au fond de leur lit, bercer par la douceur de leur couette. Tandis que je retirais la mienne de sur mon corps pour aller prendre un petit déjeuner, histoire de bien commencer la journée, j’entendis des jurons provenant de la cuisine. Intriguée, je me levai un peu plus rapidement et me dirigeai vers les injures sans même prendre la peine d’ouvrir avant mon volet. Une fois arrivée sur place, je m’adossai à l’ouverture que faisait la porte dans le mur et je me mis à sourire. Ce spectacle, même après l’avoir contempler à divers reprises, maintes et maintes fois, était toujours aussi drôle à voir. Sans rien dire, ni même me manifester d’une manière ou d’une autre, pas un raclement de gorge ou autre chose, je restai une bonne poignée de minutes à regarder mon frère entrain de se débattre dans une guerre sans merci qu’il menait contre le réfrigérateur et les aliments qu’il souhaitait extirper de ce dernier. Cependant, au bout d’un petit moment, je ne pus m’empêcher d’éclater de rire. Nicolas se retourna alors vers moi et, sans m’arrêter de rire, je m’avançai vers lui, ouvrit le frigo, en sortit le lait et refermai la porte. Tout en s’appuyant contre le plan de travail, avec un léger sourire, il me remercia d’un signe de tête et avec des mots bien silencieux puis il me demanda : « Ca fait longtemps que t’assistes à ce.. Massacre? » Avec un immense et radieux sourire, je le regardai. « Assez pour avoir remarqué que, si je n’avais pas été là, tu n’aurais encore une fois pas pris ton petit déjeuner. » Il secoua légèrement la tête, souriant discrètement, puis s’assit à la table. Après quelques secondes et un passage par les placards pour en sortir un bol et les céréales, je le rejoignis. « Tu bosses aujourd’hui? » J’avais ce que j’avais dans la bouche et je le regardai. « Je me serais pas lever aussi tôt sinon. » Il rit. « Et tu finis à quel heure? » J’eus beau chercher dans ma tête mon emploi du temps, je ne réussi pas à le trouver. Par conséquent, je me résignai à regarder dans mon téléphone. « Midi et demi, Margarett m’a donné mon après-midi. Elle dit que je dois réviser pour le bac à la fin de l’année sans comprendre qu’en réalité, c’est pas très utile puisque je connais tout sous le bout des doigts. » « Prétentieuse. » Je lui tirai la langue mais ne put lui répondre quoi que ce soit étant donné qu’il reprit la parole. « Retrouve moi au ciné, si tu veux. Ou dans la galerie de Courier, on ira faire un tour, je bosse pas non plus. » Je fis mine de réfléchir un instant puis je finis par répondre. « M’oui, on a qu’à faire ça! »
Le reste de la matinée passa à une vitesse folle malgré le peu de clientes venues essayer des robes de mariée. J’adorai conseiller les femmes par rapport à leurs tenues, à la façon dont-elles devaient les accessoiriser, comment il fallait qu’elles se coiffent et surtout avec quelles couleurs elles devaient harmoniser la robe. Certaines étaient agacées qu’une simple gamine de dix-sept ans leur dicte ce qu’elles doivent, peuvent faire tandis que d’autres, plus ouvertes d’esprit étaient tout à fait ravies des conseils que je leur donnait. Comme prévu, je sorti du magasin à midi et demi en saisissant mon sac et mon manteau tout en allumant mon téléphone portable. Deux messages non lus. Evance et Nicolas. Evance demandant ce que je faisais le lendemain et Nicolas me disant qu’il serait en retard et qu’il se prendrait un sandwich qu’il mangerait dans le cinéma. Je soupirai. Le froid fouettait mon visage, et je me mis à avancer dans la rue piétonne à la recherche d‘un endroit où je n‘aurais pas encore manger depuis le temps. A peine eu-je le temps de faire un pas qu’un homme me bouscula et fit tomber mes affaires tandis qu’il continuait son chemin sans même s’excuser. De nouveau, je soupirai et je me baissai pour ramasser ce qui allait dans mon sac, ne remarquant pas la paire de pied se postant devant moi.
Un rateau n'a jamais tué personne. PV garance.
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