☞ Alice Beauregard.
◊ WHO : dianna fucking hot agron ◊ THE DREAM : me casser d'ici partir au bout du monde avec une nouvelle identité ◊ AGE : 26 ans. ◊ SCHIZO? : non. ◊ THE JOB : organisatrice d'évenement ◊ PSEUDO : awesome. ◊ MESSAGES : 38 ◊ COPYRIGHT : burningveins. tumblr
| Sujet: Here we go again. Alice et Arthur. Mar 28 Déc - 21:46 | |
| Le réveil matin sonna comme une massue dans la tête de Alice. Sa mauvaise nuit n’était qu’une avant-première de l’intense journée qui allait se dérouler aujourd’hui. Elle éteint d’une main lasse son radio réveil mais resta tout de même dans son lit. Elle était habituée à n’avoir que 6 heures de sommeil les soirs de semaines, mais elle était d’une nature à dormir beaucoup. Durant toute son enfance, et adolescence, elle était une grande dormeuse. C’est au moment de ses études à l’université qu’elle commença à dormir moins et à s’habituée à des nuits beaucoup plus courte. Le stress, mais surtout l’amont de travail donné par ses professeurs, l’empêchait d’avoir des bonnes nuits de sommeil. Cette nuit là, elle dormit donc à peine 6 heures, et eu du mal à se lever. Après les quelques minutes qu’elle avait besoin pour éveiller son esprit, Alice fila sous la douche. Ensuite, habillée, maquillée et bien réveillée, elle bu un grand cappuccino. Sa caféine matinale ingurgitée, elle sortit rapidement de chez elle et alla dans sa voiture. Elle était vêtue d’un tailleur noir, comme tous les jours, ainsi que des chaussures à talon. Ses cheveux, relevés sur la nuque, lui donnait un air plus professionnel, plus vieillit donc plus mature. Elle n’avait que 26 ans mais était tout de même une grande organisatrice, reconnu de tous dans ce métier. Lorsqu’on voulait organiser quelque chose d’important à Annecy, elle était toujours là. Sa vie professionnel était toujours passé avant sa vie personnelle, et ce depuis toujours. Quand elle s’est rendu compte que la vie personnelle, amoureuse, amicale, était peine perdue, toujours pleine de ressentiments et de colère, de tristesse et de faux espoirs, elle se réfugia dans la travail. Dans quelque chose de sur, de solide et d’infaillible. « Non, non et non … On fait comme je l’ai dit, un point c’est tout. » argumentait Alice au téléphone, tout en franchissant la porte de l’espace conversation. Alice était dure en affaire, toujours à avoir le dernier mot. Elle devait organiser une soirée pour un cabinet d’avocat et elle tenait beaucoup à ce projet : les soirées de ce genre, lorsqu’elles étaient bien réussis, apportait un plus à sa réputation, et pourrait lui apporter, avec une bonne publicité, plusieurs nouveaux contrats. Elle se rendit tout d’abord dans la salle et bu un café, le second de la journée, et se mit au travail. Elle savait qu’elle devait rencontrer un des avocats ce matin pour l’organisation de la soirée de son cabinet. |
|